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   CARTE et MONUMENTS DE LA VILLE
   

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 Eglise de San Francesco


Elle fut construite en même temps que le couvent entre 1230 et 1240, par conséquent peu d’années après la mort de Saint François (1226). Le clocher octogonal fut par contre achevé plus tard (1477).
L’œuvre a été attribuée au moine architecte Bevignate di Cingoli, mais ce n’est pas certain, en effet celui-ci serait né en 1250.

Le complexe se dresse à l’endroit même où était située la maison des Spadalonga, amis de Saint François, qui l’ont accueilli affectueusement alors qu’en 1207, se débarrassant des habits qu’il portait et vêtu d’une misérable tunique, laissant sa famille et Assise, il se réfugia à Gubbio.
Le tracé des murs de la maison des
Spadalonga est conservé et bien visible dans la sacristie.

Sur le côté gauche, en face du jardin publique, se trouve une porte d’entrée de style roman, à deux ouvertures dont une muraille porte une belle rosace. La façade, inachevée dans sa partie supérieure, présente un portail principal, de style roman, surmonté d’une rosace, mise en place seulement en 1958. A cette occasion furent fermées les deux fenêtres rectangulaires ouvertes en 1700 au-dessus de la porte, quand eu lieu la transformation de l’intérieur de l’église dans un  style baroque.

C’est la seule église à trois nefs de la ville. A l’intérieur 14 grands piliers octogonaux de pierre soutiennent la voûte  établie à hauteur égale  des trois nefs.
Les tours et les chapiteaux sont le résultat de la restructuration de 1754. La chapelle à droite est divisée par une voûte du 15ème siècle.
Dans la partie supérieure on observe des fragments de fresques du 14ème ; sous la voûte, au centre le Christ Rédempteur, aux côtés des Evangélistes


Le « cloître de la paix » dans le couvent est remarquable par sa valeur historico artistique, lequel fait face à la « Salle du Chapitre », où, fut un temps, les moines se réunissaient pour décider des lois régissant leur vie au couvent (quand elle ne fut plus utilisé pour cet usage, durant de nombreuses années et jusqu’à il y a peu de temps il servi de magasin de dépôt du sel pour les Monopôles d’état, la dite : « salara »). De ce même « cloître de la paix » on accède au « Réfectoire », maintenant transformé en salle des congrès, et au « grand cloître », le véritable cloître du couvent, fermé au public, si ce n’est en des occasions exceptionnelles comme  des expositions d’art et des spectacles classiques.

Sur la place entre l’église et l’hôpital, à la limite du potager des frères, a été placé en 1997 un monument représentant Saint François et le loup. L’œuvre, de l’artiste Roberto Bellucci, a été réalisée  à l’initiative d’un comité citadin avec la contribution de la Commune et d’antiques corporations médiévales comme l’Université des Maçons, des Forgerons, des Menuisiers, des Cordonniers, des Tailleurs et de la Société Ouvrière du Secours Mutuel.

A l’occasion du Grand Jubilée de l’an 2000, dans l’église et dans le couvent de Saint François ont été entrepris d’ importants travaux de restauration et de consolidation des maisons : Pierotti Carlo de Gubbio, Calosi del Mastio de Florence et Edil Faramelli de Gubbio, d'après les plans des ingénieurs : Marco Balducci, Roberto Regni, Roberto Radicchia et des architectes : David Pasquinelli et Raffaele De Angelis.

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Le Monument aux morts de la Grande Guerre (1914 – 1918)


A peine la guerre de 1915-1918 terminée, on décide à Gubbio de construire un monument qui reconnaisse les combattants morts durant la Grande Guerre.
Le monument, œuvre du sculpteur pérousin Enrico Cagianelli (1886-1938), représente un fantassin en bronze, adossé aux tours, surplombé en hauteur par une tour médiévale.
Il fut inauguré le 16 mai 1924, en présence du Roi d’Italie Victor-Emmanuel III.
Le 14 mai 1927, à l’initiative de la Section Romane de la Pro Gubbio, fut ajoutée au monument la couronne de bronze avec la dédicace : "Les Eugubiens lointains aux morts glorieux – Mai 1927".

I combattenti eugubini caduti nella Grande Guerra furono 722. A Loro erano stati dedicati, nel 1924, anche i lecci del Viale della Rimembranza.
L'8 giugno 2003 è stata collocata una stele commemorativa, su iniziativa del Rotary Club Gubbio, proprio all'inizio di tale viale.
In pratica essa sostituisce le targhette che 80 anni prima erano state poste alla base di ciascuna pianta del viale e che recavano il nome di ogni soldato eugubino, morto durante la 1° Guerra Mondiale.
Ora, in un unico luogo, sono raggruppati tutti i nomi dei nostri caduti.


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Les loges des Tireurs


L'édifice qui maintenant est connu sous ce nom est en réalité constitué de deux bâtiments différentes: l'Église des Blancs, contiguë à l’hôpital de la Miséricorde, et la véritable Loge des Tireurs. L’église et l’hôpital, dont l’administration était confiée à la fraternité laïque de la Beata Vergine Maria, ouvrirent au début du 14ème. C’est seulement au début du 17ème (1603) que le complexe fut surélevé et doté de la vaste loge destinée aux « Tireurs des  Etoffes de laine »; cette loge qui fait partie des rares subsistant en Italie  est sûrement la plus grande et la mieux conservée. Sous la loge étaient entreposées à sécher, à l'ombre, après avoir reçu la teinte, les étoffes de laine bien tendues de façon à en obtenir la longueur et la largeur souhaitées. Sa construction témoigne de la puissance retrouvée de la "Corporation de l'Art de la Laine" qui à Gubbio avait créé une véritable industrie de grande renommée même hors des frontières du Duché d'Urbino, dont Gubbio faisait une partie.
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Sainte Marie des Laïques (dite des Blancs)


Cette église fut construite en 1313 en même temps que l’hôpital appelé « Spedal Grande » et le logement attenant.

Le complexe était la propriété de la commune de Gubbio et chaque Capitaine du Peuple entrant en fonction en prenait solennellement possession, alors que l’administration était confiée à la Fraternité des Laïques de la Bienheureuse Vierge Marie (une des nombreuses corporations médiévales, existant à Gubbio).

L’intérieur de l’église était à une certaine époque entièrement recouvert de fresque, mais au 17ème les fresques furent recouvertes de crépi. Maintenant l’église n’est plus consacrée.
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L’église de San Giovanni



Cette église occupe probablement l’endroit où se trouvait une très ancienne église dotée de fonds baptismaux. La construction du temple dans sa forme actuelle date de la
première moitié du 13ème.

L’intérieur, formé d’une nef unique avec de grands arcs ogivaux de  pierre soutenant le plafond, possède un motif caractéristique des églises gothiques eugubines de cette époque. 
La façade et le clocher sont de style roman.



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L’église de San Domenico


Initialement l’église, construite en 1186, était dédiée à Saint Martin, mais un siècle plus tard (1287) elle fut agrandie et dédiée à Saint Dominique.

Au début du 14ème elle est passée aux Dominicains,  qui obtinrent la permission de l’agrandir au-delà de la muraille d’enceinte. Un grand ouvrage de restauration, achevé en 1765, conféra à l’église son aspect actuel. Dans de telles transformations furent perdues de nombreuses chapelles latérales et de nombreuses fresques qui ornaient toute l’église, l’intérieur devint en croix latine.
Aujourd’hui on peut admirer les fresques de l’école eugubine du 15ème (dans la seconde chapelle à gauche de
Ottaviano Nelli), des toiles de valeur et une belle sculpture stylée (Madone du Rosaire) du début du 15ème
La façade est toujours restée inachevée.

 

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Le Palais du Capitaine du Peuple


Construit vers le milieu du 13ème, il était la résidence du Capitaine du Peuple, fonction qui demandait du chef et représentant des travailleurs qu’il constitue les corporations et les défende dans les comparutions devant le Podestat, lequel pouvait être ou apparaître comme le défenseur de la noblesse et de la bourgeoisie.

Quand dans la seconde moitié du 14ème la ville passa sous le Duché d’Urbino la fonction et l’office du Capitaine du Peuple furent supprimés et le palais fut vendu.

Durant quelques années il fut habité par les comtes Gabrielli qui le vendirent au 19ème, ainsi le palais fut transformé en habitation de diverses familles jusqu’à ce que l’eugubin Dante Minelli en fasse l’acquisition et le restaure, lui rendant sa splendeur antique, au début des années 1970.

Le Palais est constitué d’un rez-de-chaussée, avec les locaux qui étaient à la disposition du publique ; d’un étage où se trouvait le salon servant aux représentations ; et du dernier étage où était logé le corps des gardes que le Capitaine avait à sa disposition.

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Le Palais du Bargello


Solide, austère et petit palais construit en 1302, il fut le premier palais publique. Il a parfaitement conservé sa structure originelle de style gothique. Son nom vient de « Bargello » qui, à l’époque communal, était un magistrat à la fonction de police.
Le palais a la structure architecturale typique des maisons eugubiennes de cette époque : au rez-de-chaussée la grande porte, au niveau du sol, pour entrer dans l’atelier ou fond ; latéralement une porte très étroite avec une ouverture à environ 80 cm du sol. Cette porte communique à l’intérieur avec l’atelier et mène à l’étage supérieur par un escalier intérieur raide. Pour accéder à la porte, était appuyé à l’extérieur un escalier de bois qui était retiré la nuit. On appel aujourd’hui ce type de porte « Porte du mort » et une telle appellation vient du fait qu’à une certaine époque l’entrée routinière des maisons était celle de l’atelier car plus commode. Pourtant la petite porte d’entrée a fini par n’être ouverte qu’à l’occasion des funérailles, pour faire sortir le cerceuil.
Actuellement le Palais est le siège de la
Société  des Arbalétriers.
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La source et l’église de San Giuliano


Devant le Palais du Bargello, une petite place caractéristique avec au centre la source de Saint Julien, la célèbre  « Fontaine des Fous », du 16ème, où, selon une vieille tradition, le touriste qui en fait trois fois le tour acquiert, de droit, la citoyenneté eugubine et dès lors portera le titre de « Fou »!

En 2001 il a été fait sur la Fontaine un important  et radical travail de restauration.

L'église de San Giuliano fut construite, au début du 13ème, sur la seconde porte de l'enceinte ombrienne (porte Tessenaca) ; actuellement l'Université des Tailleurs y fête son saint protecteur: Saint Omobono.


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Le Palais des Consuls, le Palais de la Commune, La Grande Place


Le Palais du Peuple, puis dit des Consuls, à l’époque de la Commune Libre, était le siège du pouvoir exécutif, des Consuls, justement.

Les délibérations du 13/12/1321 et du 18/1/1322 établirent que les palais seraient construits en un lieu qui serait à la croisée des  4 quartiers pour réaliser ainsi un centre de gouvernement qui ne serait inséré dans aucun quartier en particulier, mais les jouxterait tous. Pour mettre en œuvre le projet il fut nécessaire de combler le manque de terre entre les deux palais avec les quatre grandes voûtes (Arconi) qui soutiennent la Grande Place.

La construction des palais et de la place, fut entreprise en 1332 ; Il ne fallut que quatre années pour mettre en place le portail d’entrée du Palais des Consuls, qui fut inauguré en 1338. Les travaux pour la construction du Palais du Podestat furent interrompus en 1350 au moment de la prise de pouvoir temporaire par Giovanni Gabrielli.

La construction du complexe architectural entier est attribué au célèbre architecte eugubien Matteo di Giovannello, dit Gattapone ; alors que la porte d’entrée principale du Palais des Consuls et les deux fenêtres latérales sont attribuée à Angelo da Orvieto.


Le grand escalier introduit dans le grand « Salon de l’Arengo », environnement grandiose, couvert d’une unique voûte et qui occupe quasiment l’espace de l’étage intérieur : c’était, au temps de la commune libre, le lieu d’assemblée de tous les chefs de famille de la ville pour être consultés avant les décisions les plus importantes.

Actuellement dans la salle est installée la Collection Archéologique ; dans les locaux adjacents sont conservées les fameuses Tablettes Eugubines et une moisson de pièces médiévales de la monnaie de Gubbio et d’autres monnaies de l’Italie centrale. La ville de Gubbio serait en effet une monnaie mémorable du 15ème siècle jusque 1830.

Dans les salles de l’étage supérieur est entreposée une intéressante pinacothèque avec des œuvres,  essentiellement de l’école ombrienne, du 13ème au 18ème siècle.
Sur les côtés du toit les merles et la tour campanaire, qui augmente la hauteur au sol de 52 m et abrite
le Bourdon, une cloche géante de 21 quintaux de bronze, remboursé en 1769, qui rappelle la voix de la Commune Libre de Gubbio.

Le Palais du Podestat, siège actuel de la Commune, occupe le coté oriental de la place. Ce palais aussi fut construit par Gattapone, cependant il resta inachevé. Probablement devait-il avoir la même hauteur et  le même couronnement de merles que le Palais des Consuls. Le long des arêtes de l’édifice qui regardent la place  sont clairement visibles les signes de la brusque interruption de l’ouvrage (1350) alors que la démocratie communale laissait le pas à l’envie de pouvoir du signataire de garde, Giovanni Gabrielli, qui devint, avec un coup de main, le seigneur de Gubbio.

Ce Palais, originairement composé de deux bâtiments distincts, fut agrandi au cours des siècles suivants, en effet la construction en briques qui lui a été adossée à gauche date de la fin du 17ème.

Exceptionnel et audacieux est le critère adopté dans la construction de l’édifice : un pilastre unique et central sur lequel pèsent de robustes arches qui joignent les murs du périmètre et soutiennent le poids des voûtes et des greniers.


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 Le Palais Ducal


Ouvrage réalisé par la volonté du Duc Frédérique da Montefeltro dans les années qui suivirent immédiatement 1470. Le Palais fut probablement le projet de l’architecte dalmatien (de Dalmatie) Francesco Laurana, mais fut achevé par le siennois Francesco Di Giorgio Martini. Il présente de nombreuses analogies avec le palais ducal d’Urbino correspondant.

Le Palais est composé de deux bâtiments raccordés par une belle cour, dont le mur aveugle cache les restes médiévaux de la (Tour) Cour Longobarde et du vieux Palais de la Commune.

L’intérieur était pourvu d’œuvres de grands artistes, malheureusement quand s’est éteinte la famille des Montefeltro et des Della Rovere, leurs successeurs par la  voie féminine, le palais fut vendu à des particuliers qui vendirent tout ce qu’ils purent. Ainsi, portes, fenêtres, cheminées et même les briques du pavement sont dispersées dans tous les musées du monde. La célèbre et très belle étude du Duc Frédérique, marquetée et gravée des meilleurs artistes de l’époque, se trouve actuellement au Metropolitan Museum de New York.

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Le Dôme


Le Dôme actuel fut construit durant les vingt premières années du 12ème siècle. En effet aux environs des années 1190 les curés de San Mariano obtinrent la permission de transférer dans celui-ci les reliques des Saint Martyrs Eugubiens : Giacomo et Mariano. Cette construction a elle aussi subit des modifications et des grandissements importants. Au début du 14ème siècle fut construite la façade qui laisse entrevoir à sa droite la façade d’une église plus ancienne, de style roman, qui rappelle les complexes primitifs de la cathédrale.

L’intérieur, en croix latine, est caractérisé par une unique et grande nef, avec dix arcades ogivales qui soutiennent le plafond a double tombants.

Y sont conservées les œuvres de Benedetto Nucci et de son fils Virginio (1545-1621), Dono Doni, Antonio Gherardi, mais aussi des œuvres exceptionnelles des eugubins L. et Giacomo Maffei.

Dans le Dôme se trouvent les tombes de divers Evêques, Bienheureux et Saints : Pietro Gabrielli (1326-1345) et Gabriele Gabrielli (1377-1383) ; le Bienheureux Forte Gabrielli (970-1040), Saint Giovanni da Lodi (1040-1105), le Bienheureux Villano, évêque de Gubbio de 1206 à 1240 et ami de Saint François au point de lui accorder en 1213 la permission de construire un petit couvent près de l’Eglise de la Vittorina, lieu où serait advenue la rencontre de Saint François et du Loup.

 

 

A côté, dans le Palais des Canonisés de la  Cathédrale se trouve le Musée du Dôme qui conserve dans diverses salles de nombreuses œuvres en pierre de l’époque romaine et médiévale mais aussi des œuvres picturales du 13ème , 14ème et 15ème siècles. En outre, au rez-de-chaussée, est conservé le fameux « Tonneau des Canonisés » œuvre exceptionnelle du 16ème siècle, construite sans cercles de fer, qui contient 387 « barils » de vin (environ 200 hectolitres).


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 San Francesco della Pace (dite des « Maçons »)


Petite église construite en 1608, elle appartient à une corporation ancienne appelée « Université des Maçons ». Selon la tradition, l’église aurait été construite à l’endroit où vécu, jusqu’à sa mort, le loup apprivoisé par Saint François. En 1871 non loin de l’église, le long de la Via Savelli della Porta, au cours des travaux pour la construction du Kiosque du Crucifix, fut réellement retrouvé le squelette d’un loup, qui fut ensuite exhumé dans cette même église.

Dans l’église de nombreuses choses rappellent la rencontre de Saint François avec le loup : le petit bas-relief, représentant le loup, sur l’architrave de la porte ; l’autel constitué de la pierre sur laquelle Saint François se serait arrêté au moment du pacte avec le loup ; la statue en carton-pâte, posée derrière l’autel, qui représente le Saint avec le loup entrain de stipuler le pacte.

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 S.Maria Nuova


Cette église est caractérisée par une porte principale posée sur la partie gauche, et non au centre, de la façade. Sa construction remonte à la fin du 14ème. De toutes les fresques, dans la transformation que l’intérieur à subi au 17ème, seule fut sauvée la célèbre « Madone du Belvédère » (1403) d’Ottaviano Nelli (1375-1450).
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 L’Eglise des Neri


Cette église, baroque, est aussi dite Eglise de San Giovanni Decollato. Actuellement elle est confiée à la Famille des Santantoniari qui y célèbrent la fête de Saint Antonio Abate et l’investiture du Capodieci de San Antonio.

Le 15 mai, dans cette église s’arrête la statue de San Ubaldo qui traverse Gubbio, en procession, immédiatement avant la Corsea des Ceri. La statue est rapportée à la Cathédrale le jour suivant à 10.00.

Auparavant, il y a environ 20 ans, la statue était directement rapportée au Dôme, alors que se tenait la Corsa des Ceri !

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Le Monastère et l’Eglise de San Marziale


L’église du monastère fut un temps dite de San Andrea, dont elle prit le nom, dans la seconde moitié du 13ème, d’un des quartiers de la ville. Selon quelques-uns (Don Antonio Menghini, 1820) «l’église fut jadis le templs de Mars» et cela espliquerait son nom actuel. Sa construction remonte au millieu de l’année 1000, et par conséquent elle serait l’édifice religieux le plus ancien existant entre les murs de la cité.  Son intérieur, simple et majestueux, présente deux nefs. Devant, la Porte Vehia, appartenant à la muraille de l’époque ombrienne (dite aujourd’hui: Arche de San Marziale) datable du IV-IIIème siècle av. J.-C.
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 L’Eglise et le Couvent de San Agostino


La construction de ce complexe débuta en 1249 sur un terrain donné par la Commune. L’église, présente à l’intérieur une seule nef et une structure en arcs transversaux qui soutiennent le plafond et la rendent semblable aux autres églises eugubines de l’époque ; la façade fut refaite en briques en 1790 et ne présente pas de caractéristiques particulières. A l’intérieur, les fresque d’Ottaviano Nelli, parmis lesquelles « les Histoires de San Agostino » (1422) et le « Jugement Dernier » (1424-27), récupéré en 1902 quand il fut libéré du crépi qui le recouvrait.

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 La Statue de Sant’Ubaldo


Cette œuvre, placée en haut du Boulevard Garibaldi, n’est pas très ancienne. Elle a été réalisée avec l’argent publique et privé en 1774. L’idée de placer à cet endroit une statue du Patron est née à cause de l’affaissement du mur existant. Le projet se renforça aux environs de 1760, sixième centenaire de la mort de San Ubaldo.

Mais il ne fut pas possible de la réaliser à cette occasion, à cause de la difficulté à récolter les financements: en fait dans un premier temps fut placée une statue en bois, mais en 1774 tout avait disparu! Malheureusement on ne connaît pas le nom des artistes qui ont réalisé l’œuvre.

La Statue et l’intérieur du kiosque ont été soumis à une intervention radicale de restauration en 1999, sur l’initiative de la Famille des Sangiorgiari qui a promis la construction d’un « comité citadin », formé aussi d’autres organismes (Famille des Santubaldari, Famille des Santantoniari, Université des Maçons, Association Maggio Eugubino), civiles et religieux.

Grâce à la collecte d’argent publique et privé, réalisée par le Comité, il a été possible de financier la restauration, excellement exécuté par des artisans expérimentés locaux. Mais grande a été la volonté de participation des eugubins qui ont mis à disposition leur travail. Pour l’occasion un nouvel éclairage électrique a été réalisé.

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 Le Monastère et l’Eglise de San Pietro


De ceux-là nous ne  connaissont pas la date exacte de leur fondation, mais c’est certainement durant le Haut Moyen-Age que fut construite l’église, après la Cathédrale, le principal édifice religieux eugubin. La façade de l’église présente des traces de trois époques différentes. A la première époque appartiennent les colonnes du portique qui a une époque devait orner la façade (VIII-IX s.), mais qui maintenant sont englobé dans le mur, la partie supérieure de la façade est du 13ème, alors que les deux fenêtres rectangulères sont de la fin du 16ème.

L’intérieur fut au 13ème s. réduit de trois à une sule nef, avec le plafond soutenu de sept arches du même style que les autres églises eugubines de cette époque.

En 1505 aux Benedettini succédèrent les Olivetani, qui transformèrent radicalement l’ancienne abbatiale et l’intérieur de l’église, où outre d’autres œuvres d’art variées, est conservée une orgue sculptée grandiose, œuvre d’Antonio et Giovanni Maffei.
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 La maison de Sant’Ubaldo


   C’est une belle maison ségneuriale caractéristique eugubine dont la façade actuelle est du 14ème : celle-ci devait être d’origine plus en avant, au milieu de la rue et forcément elle fut démolie pour faire place à la construction du Palais des Consuls. Pour cette raison il est possible que sa construction soit antérieure au 14ème, mais pas antérieure au grand incendie de 1126. Le fait qu’elle ait appartenu à la famille Baldassini expliquerait la tradition qui la tient pour maison natale de Sant’Ubaldo malgré que le Saint soit né en 1085.

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Le Théâtre Romain


Il fut construit dans la dernière période de la Rome républicaine, peut-etre au temps de la Guerre Civile, entre Cesare et Pompée, donc au milieu du premier siècle av. J.-C. Il fut restauré et agrandi par Gneo Satrio Rufo, gouverneur de Gubbio durant l’empire d’Auguste (31 av. J.-C. – 14 apr. J.-C.).  En témoignent les arcades, pilastres et gradins de la « cavea ».


C’était un des plus grand théâtre du monde romain ( second après le Théâtre Marcello de Rome) : la partie réservée au public, « cavea », dont il reste 22 gradins, a un diamètre de 70 mètres et peut recevoir environ 6000 spectateurs. La « Cavea » en fait était beaucoup plus haute que l’actuelle, en tant que telle, elle reposait sur deux files d’arches, mais pratiquement rien ne reste de la partie supérieure.

 Un premier écroulement advint durant le Haut Moyen-Age, quand le  théâtre fut considéré comme une carrière de pierres pour la construction de la nouvelle Gubbio.
Et cependant, aujourd’hui, durant la période estivale, dans ce qui reste de l’ancien théâtre sont représentée de grandes œuvres, surtout du théâtre antique greco-latin.
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Le Mausolée


Selon l’historien latin Tito Livio l’édifice serait la tombe de Genzio: roi d’Illyrie, (partie occidentale de la pénisule balcanique) qui fut fait prisonnier des romains, en 168 av. J.-C., fut retenu prisonnier à Gubbio, y mourut et y fut inhumé.

Selon d’autres ce serait la tombe d’un certain Lucio Pomponio Grecino, fils d’un consul romain.

A une hauteur de 9 mètre, l’extérieur devait être recouvert de pierre qui au Moyen-Age furent ôtées et utilisée pour la construction de quelques édifices. L’intérieur est bien conservé, même s’il a perdu ses dalles de marbre ; il présente une voûte en berceau, illuminée par une pêtite fenêtre posée au-dessus de la porte.

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 Le Mausolée des Quarante Martyrs


Edifice en forme de chapelle construite à l’initiative du comité « pour les Quarante Martyrs », d’après le plan de l’Architecte Pietro Frenguelli de Pérouse, à l’endroit où le 22 juin 1944 furent fusillés 40 otages innocent par les troupes nazies en retraite, en représailles, à la suite d’une opération effectuée par les formations partisanes.

Leurs noms, leurs âges:

Allegrucci Giuseppe, 34 ans
Baldelli Carlo, 34 ans
Baldoni Virgilio, 38 ans
Bartolini Sante, 55 ans
Battaglini Enea, 20 ans
Bedini Ferdinando, 39 ans
Bedini Francesco, 50 ans
Bellucci ubaldo, 34
ans
Cacciamani Cesare, 52
ans
Cacciamani Enrico, 50
ans
Cacciamani Giuseppe, 19
ans
Farabi Gino, 39
ans
Felizianetti Alberto, 23
ans
Gaggioli Francesco, 17
ans
Ghigi Miranda, 30
ans
Ghigi Zelinda, 61
ans
Lisarelli Alessandro, 23
ans
Marchegiani Raffaele, 57
ans
Mariotti Ubaldo, 18
ans
Migliarini Innocenzo, 40
ans
  Minelli Guerrino, 27 ans
Minelli Luigi, 42
ans
Moretti Franco, 21
ans
Moretti Luigi, 22
ans
Pannacci Gustavo, 36
ans
Paoletti Marino, 30
ans
Piccotti Antilio, 41
ans
Pierotti Francesco, 40
ans
Profili Guido, 54
ans
Rampini Raffaele, 43
ans
Rogari Nazzareno, 50
ans
Romanelli Gastone, 17
ans
Roncigli Vittorio, 38
ans
Roselli Luciano, 23
ans
Rossi Domenico, 41
ans
Rossi Francesco, 49
ans
Scarabotta Enrico, 36
ans
Sollevanti Giacomo,18
ans
Tomarelli Luigi, 61
ans
Zizolfi Giovanni, 23
ans
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L’Eglise de la Madone del Prato


Eglise élégante dans un style baroque qui fut construite à la demande de l’évêque de Gubbio Alessandro Sperelli (1644-1672) durant la seconde moitié du 17ème.

Elle présente un plan en croix grecque, avec une belle coupole centrale décorée d’une grande fresque de F. Allegrini.




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 L’Eglise de la Piaggiola



Dédiée à Sainte Marie de la Piaggiola, construite en 1624, elle est la dernière œuvre publique réalisée dans Gubbio avant que la ville ne passe sous le
duché d’Urbino à l’Etat de l’Eglise (1631).
Malgré que sa façade ait été détruite, son intérieur est très intéressant et représente le meilleur exemple d’art baroque existant à Gubbio.
Actuellement l’église n’est pas ouverte au culte.


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  Eglise de La Vittorina


Eglise de La Vittorina Historiquement, sa construction remonte à l’an 853, en souvenir d’une victoire sur les Sarrasins. Mais la véritable renommée de cette petite église, est liée à l’épisode de la rencontre de Saint François et le loup de Gubbio, narrée dans le XII récit du recueil des Fioretti. En effet, l’histoire veut qu’en ce lieu, vers 1220, Saint François rencontra et apprivoisa un loup, qui tuait animaux et hommes. Saint François obtint de la part de l’évêque de Gubbio, Beato Villani, au cours de l’an 1213, l’autorisation d’utiliser l’église de la Vittorina, en tant que premier établissement des frères Franciscains, transféré quelques décennies plus tard, (1241), dans le couvent de Saint François.


  La partie originale qui reste de cette église construite vers la fin de 1200, est l’abside avec sa petite fenêtre romane. En effet, vers la fin de 1500, celle-ci subit une notable transformation, et la majeure partie des fresques existantes, œuvres de Virgilio Nucci, datent de cette époque. L’extérieur de cette église se présente aujourd’hui sous forme de chalet principalement construit en pierre avec des inserts en terre –cuite. Evidente la grande simplicité de cette église, où fusionnent dans un unique volume les lieux de culte et certains espaces, un temps destinés aux religieux.


L’intérieur abrite une seule nef de forme rectangulaire. A droite de l’entrée, une chapelle, la sacristie, et l’accès à l’étage supérieur. Un parc, réalisé au début des années 90, avec oliviers et plantes diverses entoure actuellement



 Un monument à bas relief en bronze, illustrant la rencontre de Saint François et le loup a été placé devant de l’église en 1973. Cette œuvre a été réalisée par le sculpteur Farpi Vinole di Bologna, sur commande de l’Association Maggio Eugubino.


 Pour rappeler que Saint François a été « l’inventeur » de la première crèche, ( à Greggio- Rieti- durant la Noël de 1223), chaque année, autour du parc de la petite église, est édifiée la Crèche de la Vittorina pour fêter la Nativité du Seigneur, ainsi que l’avait enseigné le Saint, en un lieu, parmi les plus importants du Franciscanisme. Cette œuvre est réalisée chaque année par des volontaires de l’Association Culturelle S.François et le loup.

En 1999, l’église a été l’objet d’un travail de restauration substantiel, grâce à l’intercession de la société Air Liquide Italia pour réparer les dégâts provoqués par les tremblements de terre des deux dernières décénnies.

Une statue en bronze représentant la rencontre de S. François et le loup a été placée à proximité immédiate de l’église, le 7 avril 2002. Cette œuvre a été réalisée par le sculpteur Francesco Scalici, sur l’initiative d’un comité citadin spontané coordonné par Giammario Flamini.

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 Eglise de S. Secondo


église et le couvent de S. Secondo constituent un complexe monumental duquel nous n’avons des informations que depuis la fin du XIIème siècle.

 Le cloître, dont la construction fut réalisée avec des colonnes provenant d’édifices de la cité antique, date de cette époque. C’est dans ce presbytère que le jeune Ubaldo Baldassini reçut les premiers enseignements scolaires, autour des années 1100.

 L’église actuelle est le résultat de plusieurs interventions de restructuration, mais elle conserve encore divers éléments architecturaux, témoignage de sa longue existence, comme l’abside, qui est un splendide exemple du gothique eugubin de 1200. L’autel,gothique lui aussi, date de 1336.

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 Basilique de S. Ubaldo


     Durant les siècles qui suivirent, l’église fut restaurée et élargie à maintes reprises. En 1514, les duchesses d’Urbino, Elisabetta et Eleonora Della Rovere, nièces du Pape Giulio II, reconstruisirent et agrandirent notablement l’église: le cloître fut construit, l’intérieur passa à trois nefs, le couvent atteignit les dimensions actuelles. Dans la seconde moitié de 1800, l’autel en marbre fut restauré, et, en 1886, fut construit le tombeau en bronze doré, contenant le corps de S. Ubaldo, conception du conte Carlo Della Porta.

   Ce tombeau a été restauré en 1996, à l’initiative de la « Famille des Sant’Ubaldari », grâce à des contributions publiques et privées, par le Prof. Francesco Salici, enseignant à l’Institut National d’Art de Gubbio. De 1916 à1922, grâce à l’action tenace du Père Emidio, le franciscain, recteur du Sanctuaire, un grand travail de restauration et d’agrandissement de l’église fut réalisé.

    La générosité de nombreux eugubins, en plus de celle de l’évêque Nasalli Rocca et du Pape Benoît XV, a permis d’étendre les nefs de trois à cinq, de construire le nouveau clocher (1919), substituant l’ancien caduc, qui se trouvait à l’autre extrémité de l’église. Même l’autel fut adapté pour supporter le tombeau du Saint, et tout autour fut construite une balustrade, elle-même supprimée, lorsque dans les années 80, on déplaça l’autel sous le dôme vers l’abside, pour agrandir la nef centrale.

    L’église devint « Basilique » en 1919 , à la demande du Pape Benoît XV. En 1920, la basilique fut dotée d’un nouvel orgue, réalisé par la société Moretti de Pérouse, encore en fonction aujourd’hui. Deux ans après, L. Mosmeyer di Florence, réalisa les vitraux qui relatent les épisodes principaux de la vie du Saint.
    Aujourd’hui il existe un « comité pour la Basilique de S. Ubado » très actif, dont le but est de poursuivre et d’améliorer sans cesse l’état de la Basilique. La communauté des franciscains présente dans le couvent, publie le périodique Bimestriel « Sanctuario di S. Ubaldo ». En ce moment, de nouveaux et substantiels travaux de rénovation, concernant surtout le couvent, sont en cours.

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Eglise de S. Croce


    Petite église dont la façade date de 1600, mais une pierre posée sur le mur derrière la sacristie, où il est inscrit la date 1262 en chiffres romains, fait remonter sa construction à une époque plus ancienne. C’est de là que prend le départ chaque vendredi saint la Procession du Christ Mort, organisée encore aujourd’hui comme au moyen-âge, par la Vénérable Confraternité de S. Croce.

    A l’intérieur, outre la statue de Notre-Dame des Douleurs, il y a un grand crucifix(œuvre artisanale de 1600), duquel on décroche le corps du Christ, pour être porté en procession. Très caractéristique est le splendide plafond en bois fait de caissons dorés

 

 

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Mitage de S. Ambrogio


    Il fut construit en 1331, à la demande de l’évêque Pietro Gabrielli, désirant accueillir en ce lieu tous les ermites, qui vivaient en divers lieux alentours, sans aucunes règles précises. Dans la petite église de l’ermitage, est conservé, sous l’autel, le corps de Beato Arcangelo Canetoli (1460-1513), qui séjourna là et y mourut. Durant sa présence, le monastère fut un incessant va-et-vient de fidèles, attirés par la renommée de la sainteté de cet homme.

    Le motif pour lequel il est dédié à S. Ambrogio, est dû au fait qu’à un certain moment de son histoire, après avoir été sous les Agostiniens, il passa à la « Congrégation de S. Ambrogio ».

    Tout au long de 1900, l’ermitage allait progressivement vers l’abandon, mais grâce à l’action du Comité pour la valorisation des Gorges du Bottaccione, il fut possible d’effectuer un grand travail de restauration conclus en 2000, d’après un projet de l’Architecte Francesco Riccardini et l’Ingénieur Giancarlo Signoretti , et les travaux exécutés par la « Cooperativa Edile Eugubina ». Aux alentours de l’ermitage, se trouvent les soi-disant « murs cyclopéens », d’une longueur de 50 mètres environ, sur une hauteur de 5 mètres, constitués de pierres gigantesques d’une dimension de «3 mètres x 2. Probablement représentent-ils les vestiges d’une structure de défense construite par nos très lointains ancêtres.



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Aqueduc Médioéval (Conduit)


    Il représente le système de connexion hydraulique entre la digue nommée « Bottaccione » et le Cassero ( zone fortifiée située en amont du Palais Ducal), permettant aussi à la partie haute de la ville d’être alimentée en eau courante.
    Il fut construit en 1300, il mesure environ deux km de longueur, et c’est certainement un grand exemple d’ingenieurie hydraulique.
    Le canal pour faire couler l’eau, fut réalisé à force de burin et marteau, entre pierre mise et contact étroit. Le « Conduit », comme le Bottaccione est attribué au « Gattapone », mais il n’y a aucun document officiel qui l’affirme.

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